Entreprendre avec succès à Singapour, c'est possible. En puisant dans ses archives, Lepetitjournal présente 4 portraits d'entrepreneurs francophones qui, à un moment de leur parcours, ont choisi de créer leur entreprise à Singapour. Une sélection aléatoire qui montre la diversité des projets. Autant de pistes pour stimuler l'envie de ceux et celles qui souhaitent se lancer.
Comment démarrer un projet de création d'entreprise ? Il y a plusieurs manières de concrétiser son projet. On peut partir de ce qu'on sait faire et se lancer dans un domaine où l'on acquis déjà une certaine expertise. On peut aussi partir des besoins du marché et construire son offre sur la base d'un service qui existe ailleurs mais n'a pas encore d'application à Singapour. On peut enfin partir d'une idée innovante. Dans tous les cas, ce n'est plus le capital de départ qui représente la plus grande difficulté. De nombreux projets peuvent être tester avec de faibles capitaux au départ pour limiter les risques et le réseau des business angels, à Singapour, permet ensuite à un bon projet de trouver facilement de quoi accélérer son développement. Ce qui compte c'est la motivation, l'envie d'entreprendre, ses compétences, et une bonne dose d'énergie.
Julien Labruyère.
Arrivé à Singapour en 2008, Julien avait déjà acquis une solide expérience de commercial dans la High tech et depuis longtemps l'envie de se lancer lorsque, en 2012, il trouve l'idée qui lui permettra de le faire. En 2012, il crée GET4X et développe une application permettant de mettre en concurrence les bureaux de change pour localiser celui qui propose les meilleurs taux. Voir le portrait
Après des études en pharmacie et une spécialisation en dermopharmacie, Pétronille commence par travailler dans la Recherche & développement d'une entreprise singapourienne du secteur cosmétique. En 2010, elle décide de créer sa propre gamme de produits et lance l'année suivante la ligne de soin Pétronille Dermo-Cosmetic. Voir le portrait
Architecte de formation, Rémi n'a pas hésité à laisser de coté son domaine de spécialité pour se lancer dans l'enseignement des langues, avec la création de FRENCH TOAST. Un secteur nouveau certes, mais dans lequel il s'est appuyé sur 2 compétences clés empruntées à son métier d'origine : la créativité et la gestion de projet. Voir le portrait
Ingénieur de l'Ecole Centrale venu initialement à Singapour pour terminer ses études à NUS, il crée Apollo learning, sur le modèle d'Acadomia en France, pour mettre en ?uvre des solutions de soutien scolaire qualifiées. Après avoir développé son réseau à Singapour, il vient d'ouvrir un bureau à Hong Kong. Voir le portrait
Bertrand Fouquoire (www.lepetitjournal.com/singapour) Mardi 17 septembre 2013
A voir "pour penser en dehors de la boite": la video (cf illustration) réalisée par IE Singapore
L'annuaire 
