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MICRO-TROTTOIR - Qu'est-ce qui vous a le plus marqué à votre arrivée en Roumanie?

Écrit par Lepetitjournal Bucarest
Publié le 29 mars 2017, mis à jour le 4 avril 2017

Nous sommes allés à la rencontre de Français de passage à Bucarest ou d'étudiants fraîchement débarqués pour recueillir leurs premières perceptions sur la Roumanie, avant qu'elles ne deviennent des habitudes.

Cédric (étudiant, 28 ans) :
Débarquant dans un pays de l'Est, j'avais quelques inquiétudes par rapport à la langue. J'avais peur de ne rien comprendre et, à ma grande surprise, je pouvais déchiffrer les affiches des magasins, suivre des bribes de conversation. La langue roumaine a des racines latines qui me la rendaient familière.


Philippe (retraité, 63 ans) :
J'avais quelques à priori sur les pays de l'Est et la Roumanie n'en parlons pas. Nous sommes allés à la montagne et à la campagne et j'ai été saisi par la beauté des paysages et l'authenticité que l'on peut y trouver, la gentillesse des gens. A Bucarest il y a également de magnifiques jardins, des parcs un peu partout, des terrasses superbes en été où l'on peut passer de belles soirées sous des lampions et déguster des plats traditionnels délicieux. Une belle découverte qui m'a permis d'acquérir une plus grande ouverture sur les autres!


Christiane (notaire, 58 ans) :
Je suis passée à Bucarest voir une amie et dès le début je me suis sentie à l'aise, j'avais le sentiment d'être en sécurité. On peut se balader tard dans la soirée sans problème, il y a toujours plein de monde, même en semaine, c'est très agréable.


Amjad (25 ans, étudiant) :
Les femmes sont belles et s'habillent comme elles le désirent sans que personne ne vienne les ennuyer. J'ai senti une certaine liberté ici.


Céline (32 ans, designer) :
Un soir à Paris, un ami roumain m'a parlé avec passion de son pays natal, la Roumanie. Il s'est empressé de me montrer des photos en voyant que j'étais curieuse. Les paysages qui défilaient sur son écran étaient incroyables, je n'aurai jamais pu imaginé que la Roumanie puisse receler d'autant de beauté. Deux semaines plus tard, je prenais l'avion pour Bucarest, c'était en juin 2014, la chaleur était étouffante, les arbres n'étaient pas taillés, ce qui donnait l'impression que la nature reprenait possession de l'espace urbain, il y en avait partout dans les rues, ce qui rendait les blocs communistes moins froids, comme si la nature voulait faire pardonner leur laideur. Ce qui m'a marqué donc c'est cette nature que l'on retrouve partout en abondance, mélangée au chaos bétonné des villes.


Grégory Rateau (www.lepetitjournal.com/Bucarest) - jeudi 30 mars 2017

lepetitjournal.com bucarest
Publié le 29 mars 2017, mis à jour le 4 avril 2017

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